
À trois semaines des prochaines élections européennes, le président de l’Institut ifo s’est opposé à ce qu’il estime être les mauvaises réponses des responsables politiques pour enrayer la montée du populisme. Dans son discours à l’occasion de la remise du prix Hanns Martin Schleyer à Stuttgart, il s’est notamment prononcé contre la vision d’une « Europe qui protège », telle qu’elle a été évoquée récemment par le président français Emmanuel Macron.